A l’occasion des 20 ans du groupe, nous sommes fiers de vous annoncer la réédition de cet album projet unique, qui, se réapproprie les chansons issues du répertoire punk et post punk sous forme electro, bossa nova ou folk. Enrichi de nombreux bonus, dont certains jamais publiés à ce jour.
EDITION LIMITEE DOUBLE ALBUM VINYLES
Le vinyle est pressé en 100 % BioVinyl de la meilleure qualité de Virgin Vinyl, avec une teneur réduite en pétrole et des économies significatives d’émissions de CO2.
Depuis 2015, le duo franco-chilien Caroline Chaspoul et Eduardo Henriquez, alias Nova Materia, collectent puis sculptent la musique du vivant pour composer des potions expérimentales au son industriel et à l’énergie post-punk, entre jeu de matières et transe électronique. Nova Materia est à l’écoute des murmures du monde, de ses langues et de ses mystères.
Après son premier album «Perdu D’Avance», « Le Chant Des Sirènes» l’album de la consécration. Inclus : Raelsan, Plus rien Ne M’Etonne, Double Vie, Suicide Social.
Perdu d’avance est le premier album studio du rappeur français Orelsan, sorti en 2009 sous le label 3ᵉ bureau et d’une durée de 61 minutes. Cet album est nommé au prix Constantin, et il est certifié disque de platine.
Wewantsounds réédite pour le Disquaire Day l’une des meilleures BO de Michel Legrand composées pour le film La Piscine de Jacques Deray, sorti en 1969. La BO complète n’était sortie à l’époque qu’au Japon et est désormais très rare.
La musique du film LES TONTONS FLINGUEURS, tout autant que celle de James Bond est reconnaissable dès les premières notes. Une petite ritournelle qui parvient même à trotter dans la tête des gamins du XXIe siècle. Les musicologues appellent monothématisme les variations stylistiques autour d’un seul thème musical que l’on retrouve dans Les Tontons : au banjo, lors des séances de « bourre pif », en gloria, en jazz, en blues ou en Hully Gully.
Justin Stivers (bassiste sur l’album « Hospice » de The Antlers, Pet Ghost Project), ainsi que les talents du multi-instrumentiste virtuose Justin Gonzales, vous proposent un mélange brut de morceaux cosmiques aux formes changeantes juste au bord de la danse.
La poésie politique mêlée aux musiques éclectiques (où la chanson française se mêle à la culture africaine) dégageant des ondes positives et à la production de Guts qui se fait ressentir aussi sur « Brigand » et sur « Président » fera de ce Hymne à la vie un second disque qui définira à coup sûr l’identité propre de Pat Kalla et de son Super Mojo qui nous offre un hymne à la vie authentique et essentiel.
Pour décrisper les nerfs qu’il aime se mettre en pelote au sein du très convulsif trio Papier Tigre, comme dans l’ébouriffant collectif ‘La Colonie de Vacances’, Éric Pasquereau aime à pérégriner dans l’histoire labyrinthique de la musique populaire, à la manière d’une chasse au trésor. Il se frotte à ses mythes, s’y mesure crânement, autant pour apprendre à les aimer toujours plus intensément que pour tâcher d’en tirer des sucs encore inédits, d’en dévoiler des territoires encore vierges.
Ce second opus propose un jazz moderne où s’égrainent de multiples influences, qui métisse un format hard bop avec des sonorités électroniques, afrobeat et groove. Les huit morceaux dégagent une énergie positive, une humeur dansante qui laissent aussi parfois la place à une douceur enivrante, comme sur le titre « Let it go ». Les compositions s’affranchissent du format classique, avec des prises de liberté qui se révèlent harmonieuses et d’une magie audacieuse. Un virage sonore réussi avec l’expertise de Benoit Corboz, ingénieur du son sur cet enregistrement et fidèle compagnon d’Eric Truffaz.
It’s Never Been Like That est le troisième album studio du groupe français Phoenix. Deux singles ont été extraits : Long Distance Call et Consolation Prizes. Il a été nommé au Prix Constantin 2006.
The first ten seconds of the album’s opening track, « I Found Out », were enough to convince me that I needed to release this record. A simply beautiful and pure janglepop song in the vein of Choo Choo Train or the first Posies album may start off the record, but soon afterwards you realize that this French band’s sound is much more varied than that. Popincourt is not only the name of the band, but also the pseudonym of its leader, who receives assistance from Hervé Bouétard (Bertrand Burgalat’s drummer) and (perhaps not coincidentally) Ken Stringfellow on bass, among others. Popincourt himself is admittedly very influenced by the Style Council (though my ears also hear a close similarity to Eggstone), with his songs exhibiting a classy sound filled with trumpets, subtle organs, female backing vocals and jazzy guitar chords. With twelve quality pop songs clocking in at nearly 35 minutes, this is a surefire hit for the much-anticipated summer!
Prophet est le projet de Florence Villeminot (Hold Your Horses) et Philippe Monthaye (Chicros). Ceux-ci citent Philip Glass, Moondog, Laurie Anderson, Robert Wyatt, les Kinks, les Boo Radleys ou My Bloody Valentine comme influences. « Phantom Pain » est le premier EP du groupe. Le « membre fantôme », c’est celui qui a été amputé mais dont on ressent toujours la présence. Ici, c’est une métaphore de la séparation — l’être aimé n’est plus là, mais on le ressent toujours. Voici pour le dossier de presse, passons maintenant au ressenti de cet EP.
Sorti le 9 mai 2001, L’Amour est Mort, deuxième album d’Oxmo Puccino, fête ses 20 ans. Réédition d’un album complexe, un projet sombre et avant-gardiste.
La Nuit du réveil est le 7ᵉ album d’Oxmo Puccino, sorti le 6 septembre 2019.
« une confession lucide, un album de proximité. On retrouve Oxmo Puccino au regard aiguisé, la sagesse toujours aussi dense, le vécu à fleur de mots. »
Moins imagée et plus directe que sur les deux albums précédents, sa parole est objective et reste une affaire de sens. Plus sombre pourtant serti de saillies festives, il nous rappelle que la paix est un choix comme le verre à moitié plein, l’oubli des plaintes et la magnification du quotidien.
Lipopette Bar est le quatrième album d’Oxmo Puccino, sorti le 25 septembre 2006. Cet album, dont l’auteur évolue habituellement dans le milieu du rap, prend ici des accents jazz ; il est d’ailleurs produit par Blue Note, célèbre label du genre, et est accompagné par la formation The Jazzbastards.
Percussionniste guadeloupéen, maître es-percussions, Roger Raspail a servi de son talent plusieurs générations d’artistes, de Pierre Akendengue à Cesaria Evora, de Chico Freeman à Papa Wemba, de Kassav à Anthony Joseph. Donnant de nouvelles couleurs sonores à l’épopée des musiques noires sans jamais altérer son identité musicale, il s’est rarement mis en avant. C’est donc autour de ce projet que le Chantier le sollicite : celui d’une variation autour du « Ka ». Ka qui est autant tambours, que réunion, fête, rite, mémoire collective. Tant savoir manier les tambours renvoie à un patrimoine et se veut appartenance à une aventure humaine qui débuta dans la douleur de l’esclavage pour parvenir à l’émancipation et l’épanouissement expressif des populations de la Caraïbe.